La conduite du changement s’est transformée. Il y a 10 ans les changements étaient après une phase expérimentale, décidés par le haut et déployés avec une gestion de projet qui était séquencée en phases, avec un point de départ et un objectif prédéterminé. Cette méthode ne fonctionne plus.
Mes convictions:
- Il est nécessaire de partager la même vision, ce qui nécessite que les différents acteurs
trouvent un intérêt personnel pour une ambition commune. - La co-construction est essentielle pour motiver, impliquer et mettre en mouvement. La conduite du changement est internalisée à 99%. La participation avec de petits groupes sur des thèmes particuliers permet une meilleure agilité.
- La gouvernance et l’organisation du projet doit être simple, lisible par tous et permettre une forte circulation de l’information. Les retours d’expérience doivent être rapide. Les boucles de feed-back doivent permettre une amélioration continue et rapide.
- La culture managériale est clé, elle doit favoriser l’initiative et la coopération. La culture de bienveillance est propice pour la recherche de solutions et pour dépasser des obstacles / échecs. Le manager ne se place plus en posture de sachant exclusif, il favorise les échanges horizontaux et l’entraide.
- L’innovation est ouverte sur l’extérieur. Les partenariats doivent apporter des idées et permettre d’aller plus vite.